LES FRENCHIES DE LA NUIT (de mercredi à jeudi)
Enfin une embellie dans le ciel de New York. Utilisé à petites doses, RONNY TURIAF a eu l'opportunité de montrer sur la durée son utilité parmi des Knicks un brin sonnés après 3 défaites d'affilée. Paradoxalement, s'il est plutôt référencé d'ordinaire pour ses qualités défensives, face à Oklahoma, le Français s'est signalé cette fois sous le panier adverse et marqué plus de 10 points pour la deuxième fois seulement de la saison. Ce louable effort a été utile aux New Yorkais, accrochés par la doublette du Thunder Westbrook - Durant (49 PTS à elle seule). Moins saignant depuis quelques jours, Stoudemire (23 PTS) n'a pas été l'unique argument des Knicks puisque, cette fois, les double doubles ont été réalisés par Raymond Felton (12 PTS 10 AST) et Landry Fields (14 PTS 10 AST), celui-là même qui fait capoter la transaction avec Denver pour la venue de Carmelo Anthony, Mike D'Antoni refusant de l'inclure dans l'échange...
A propos de Melo, il n'était pas du déplacement à San Antonio. Meurtri par le décès d'un proche, Anthony a laissé ses coéquipiers entre les griffes de la meilleure équipe actuelle de NBA, et ceux-ci s'en sont bougrement bien sortis. Chauncey Billups a retrouvé son adresse (20 PTS), Smith et Lawson ont joué les pistoleros (22 PTS chacun) et Afflalo s'est multiplié (12 PTS 10 RBD). Cela n'a pas semblé émouvoir des Spurs toujours aussi zen face à l'adversité, à commencer par TONY PARKER, toujours inspiré dans son rôle de meneur... sauf pour marquer. Comme d'habitude, cela a suffi grâce aux efforts de Richard Jefferson (16 PTS), Manu Ginobili (22 PTS), Neal (22 PTS également) et du rookie brésilien Tiago Splitter (12 PTS 9 RBD). Chez les Spurs, les acteurs changent à chaque film, mais la fin reste la même: une happy end.
Pour JOHAN PETRO aussi le scénario reste le même: une poignée de minutes et un impact modeste sur le destin des Nets, battus par les Hornets (105-91). A La Nouvelle Orléans, mercredi soir, le pivot français n'a pas vraiment profité de la fatigue de ses principaux concurrents Brooke Lopez (16 PTS 4 RBD) et Kris Humphries (6 RBD seulement), tout comme KEVIN SERAPHIN, inexplicablement snobé par son coach pourtant limité en option dans la raquette. JaVale McGee est aussi limité que ne l'était son paternel (George Montgomery), et Andy Blatche n'est pas à 100% de sa condition physique (7 PTS 6 RBD). Cela s'est encore vu face à Chicago, venu s'imposer dans la capitale (80-87) grâce à un Boozer inarrêtable (30 PTS 10 RBD 7 AST). Peut-être que la dureté et la détermination de Seraphin aurait pu servir pour le ralentir un peu, non mister Saunders ?
STATS
SY: DNP
NOAH: DNP
SERAPHIN: DNP
TURIAF (21'56): 11 PTS (4/5), 2 RBD, 1 AST, 1 BLK
PETRO (5'47): 0 PT (0/1), 1 RBD, 1 AST, 2 BLK, 1 TO
PARKER (35'52): 11 PTS (5/13), 2 RBD, 9 AST, 4 TO
FRENCHY DE LA NUIT: Ronny Turiaf
Enfin une embellie dans le ciel de New York. Utilisé à petites doses, RONNY TURIAF a eu l'opportunité de montrer sur la durée son utilité parmi des Knicks un brin sonnés après 3 défaites d'affilée. Paradoxalement, s'il est plutôt référencé d'ordinaire pour ses qualités défensives, face à Oklahoma, le Français s'est signalé cette fois sous le panier adverse et marqué plus de 10 points pour la deuxième fois seulement de la saison. Ce louable effort a été utile aux New Yorkais, accrochés par la doublette du Thunder Westbrook - Durant (49 PTS à elle seule). Moins saignant depuis quelques jours, Stoudemire (23 PTS) n'a pas été l'unique argument des Knicks puisque, cette fois, les double doubles ont été réalisés par Raymond Felton (12 PTS 10 AST) et Landry Fields (14 PTS 10 AST), celui-là même qui fait capoter la transaction avec Denver pour la venue de Carmelo Anthony, Mike D'Antoni refusant de l'inclure dans l'échange...A propos de Melo, il n'était pas du déplacement à San Antonio. Meurtri par le décès d'un proche, Anthony a laissé ses coéquipiers entre les griffes de la meilleure équipe actuelle de NBA, et ceux-ci s'en sont bougrement bien sortis. Chauncey Billups a retrouvé son adresse (20 PTS), Smith et Lawson ont joué les pistoleros (22 PTS chacun) et Afflalo s'est multiplié (12 PTS 10 RBD). Cela n'a pas semblé émouvoir des Spurs toujours aussi zen face à l'adversité, à commencer par TONY PARKER, toujours inspiré dans son rôle de meneur... sauf pour marquer. Comme d'habitude, cela a suffi grâce aux efforts de Richard Jefferson (16 PTS), Manu Ginobili (22 PTS), Neal (22 PTS également) et du rookie brésilien Tiago Splitter (12 PTS 9 RBD). Chez les Spurs, les acteurs changent à chaque film, mais la fin reste la même: une happy end.
Pour JOHAN PETRO aussi le scénario reste le même: une poignée de minutes et un impact modeste sur le destin des Nets, battus par les Hornets (105-91). A La Nouvelle Orléans, mercredi soir, le pivot français n'a pas vraiment profité de la fatigue de ses principaux concurrents Brooke Lopez (16 PTS 4 RBD) et Kris Humphries (6 RBD seulement), tout comme KEVIN SERAPHIN, inexplicablement snobé par son coach pourtant limité en option dans la raquette. JaVale McGee est aussi limité que ne l'était son paternel (George Montgomery), et Andy Blatche n'est pas à 100% de sa condition physique (7 PTS 6 RBD). Cela s'est encore vu face à Chicago, venu s'imposer dans la capitale (80-87) grâce à un Boozer inarrêtable (30 PTS 10 RBD 7 AST). Peut-être que la dureté et la détermination de Seraphin aurait pu servir pour le ralentir un peu, non mister Saunders ?
STATS
SY: DNP
NOAH: DNP
SERAPHIN: DNP
TURIAF (21'56): 11 PTS (4/5), 2 RBD, 1 AST, 1 BLK
PETRO (5'47): 0 PT (0/1), 1 RBD, 1 AST, 2 BLK, 1 TO
PARKER (35'52): 11 PTS (5/13), 2 RBD, 9 AST, 4 TO
FRENCHY DE LA NUIT: Ronny Turiaf
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