Mardi, ici même, était évoqué l'avenir incertain de Larry Brown à la tête des Bobcats. Il ne fallait pas être mentaliste pour deviner que quelque chose était cassé dans la belle mécanique des Bobcats, qualifiés la saison dernière pour les playoffs et à l'agonie depuis le début de saison. Le mythique entraîneur avait même déclaré après la déroute devant la "terrifiante" équipe de Washington que Charlotte n'était "pas une équipe de basket" et qu'il en était, lui-même, "le premier responsable".
Évidemment, la situation ne pouvait perdurer, surtout dans une franchise appartenant au plus grand gagneur de l'histoire du sport, sa majesté Michael Jordan himself. Mais comme on est entre gentlemen, et gens du même et grand monde, Brown n'a donc pas été viré. Il a, de lui-même, senti qu'il était devenu un poids pour cette équipe d'individualistes forcenés où Boris Diaw doit s'ennuyer ferme, cela dit en passant. Quand on a le palmarès de Brown (sacré en NCAA et en NBA, une rareté), qu'on a été élu "entraîneur de l'année" en NBA et en ABA (une ancienne fédération aujourd'hui disparue), on part avec classe et élégance, et c'est ce qui vient de se passer.
Pour le moment, c'est l'ancien coach de Cleveland et des Clippers Paul Silas qui le remplace, sans doute temporairement. Un autre technicien devrait rapidement mettre fin à cet intérim pour s'installer en Caroline du Nord. On lui souhaite déjà bien du courage...
Quant à Larry Brown, lui qui avait soit disant épaulé le staff de l'équipe de France dans un rôle de conseiller l'année dernière, sera probablement libre pour le Championnat d'Europe l'été prochain, qualificatif pour les Jeux Olympiques. Vous verrez, m'sieur Brown, c'est chouette, la Lituanie...
Évidemment, la situation ne pouvait perdurer, surtout dans une franchise appartenant au plus grand gagneur de l'histoire du sport, sa majesté Michael Jordan himself. Mais comme on est entre gentlemen, et gens du même et grand monde, Brown n'a donc pas été viré. Il a, de lui-même, senti qu'il était devenu un poids pour cette équipe d'individualistes forcenés où Boris Diaw doit s'ennuyer ferme, cela dit en passant. Quand on a le palmarès de Brown (sacré en NCAA et en NBA, une rareté), qu'on a été élu "entraîneur de l'année" en NBA et en ABA (une ancienne fédération aujourd'hui disparue), on part avec classe et élégance, et c'est ce qui vient de se passer.
Pour le moment, c'est l'ancien coach de Cleveland et des Clippers Paul Silas qui le remplace, sans doute temporairement. Un autre technicien devrait rapidement mettre fin à cet intérim pour s'installer en Caroline du Nord. On lui souhaite déjà bien du courage...
Quant à Larry Brown, lui qui avait soit disant épaulé le staff de l'équipe de France dans un rôle de conseiller l'année dernière, sera probablement libre pour le Championnat d'Europe l'été prochain, qualificatif pour les Jeux Olympiques. Vous verrez, m'sieur Brown, c'est chouette, la Lituanie...
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