LA SAGA HEAT: épisode 32
Miami - New York: 106-98
Bilan : 23 victoires, 9 défaites
Si même Ilgauskas s'y met, maintenant...! La concurrence n'avait pas besoin de ça. Déjà très occupée à juguler les trois mégastars du Heat, forcée d'avoir les yeux à trois endroits différents, la pauvre équipe de New York a vu débouler la grande carcasse du Big Z (prononcez zi), le Lituanien, redevenu ce qu'il fut un temps, quand ses articulations ne couinaient pas encore: un rhinocéros aux mains de dentelière. Rajeuni de 5 ans, Ilgauskas s'est mêlé à la fête face aux Knicks.
Certes, il n'a pas réussi le même carnage que Dwayne Wade (40 PTS), LeBron James (18 PTS 10 RBD 8 AST) ou même Bosh (18 PTS 10 RBD), mais son apport (14 PTS 10 RBD) a été salutaire. Car en dépit du gros match de chacun des trois amis-amis, cela n'aurait pas été suffisant si Big Z et autres vassaux n'avaient porté secours à la seigneurerie floridienne. D'autant que les intérieurs new yorkais Stoudemire et Chandler (51 PTS à eux deux) ont souligné le manque criant de robustesse du Heat dans ce secteur. La preuve que l'équilibre, quoique savant, reste précaire, et qu'un grain de sable peut encore gripper l'ensemble. Malgré un 15e succès en 16 matches, Miami sait que rien n'est gagné, et surtout pas le titre. Et c'est bien ce qui est excitant avec ce Heat de feu !
Bilan : 23 victoires, 9 défaites
Si même Ilgauskas s'y met, maintenant...! La concurrence n'avait pas besoin de ça. Déjà très occupée à juguler les trois mégastars du Heat, forcée d'avoir les yeux à trois endroits différents, la pauvre équipe de New York a vu débouler la grande carcasse du Big Z (prononcez zi), le Lituanien, redevenu ce qu'il fut un temps, quand ses articulations ne couinaient pas encore: un rhinocéros aux mains de dentelière. Rajeuni de 5 ans, Ilgauskas s'est mêlé à la fête face aux Knicks.
Certes, il n'a pas réussi le même carnage que Dwayne Wade (40 PTS), LeBron James (18 PTS 10 RBD 8 AST) ou même Bosh (18 PTS 10 RBD), mais son apport (14 PTS 10 RBD) a été salutaire. Car en dépit du gros match de chacun des trois amis-amis, cela n'aurait pas été suffisant si Big Z et autres vassaux n'avaient porté secours à la seigneurerie floridienne. D'autant que les intérieurs new yorkais Stoudemire et Chandler (51 PTS à eux deux) ont souligné le manque criant de robustesse du Heat dans ce secteur. La preuve que l'équilibre, quoique savant, reste précaire, et qu'un grain de sable peut encore gripper l'ensemble. Malgré un 15e succès en 16 matches, Miami sait que rien n'est gagné, et surtout pas le titre. Et c'est bien ce qui est excitant avec ce Heat de feu !
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