LA SAGA HEAT: épisode 41
Denver - Miami: 130-102
Bilan: 30 victoires, 11 défaites
C'est une éclatante démonstration par l'absurde qui a illuminé la déroute totale du Heat à Denver, jeudi soir. Et qui a enterré sans doute définitivement les palabres de comptoirs sur les mérites attribuées aux stars de Miami: LeBron James est bien indispensable à son équipe, contrairement à ses deux amis-amis Chris Bosh et Dwayne Wade. Certes, Bosh, le plus mal à l'aise des trois, celui qui a vu le plus ses statistiques décroître depuis son arrivée au sein de l'équipe (de 24 PTS et presque 11 RBD par match la saison dernière à 18 PTS et 8 RBD au Heat), est nécessaire à l'équilibre de l'équipe. Certes, D-Wade est un formidable scoreur, swingman de génie, soliste de l'extrême. Mais Miami a su gagner en leur absence. Pas en celle de Bron-Bron (et une dédicace de plus pour le grand Jacques Monclar!), resté en costume de ville à cause d'une entorse. Tout s'est délité sans lui, comme s'il était l'huile qui permettait aux rouages de l'équipe d'éviter de grincer. Comme s'il était le chef d'orchestre qui permettait l'harmonie.
De par sa polyvalence, James permet chaque soir de match à cette équipe du Heat de compenser ses faiblesses passagères: un peu (beaucoup) de scoring, une pincée de rebonds, une salve de passes décisives et le tour est joué. Sans lui, ces manques ont explosé à la figure des Heat, et ni Wade, ni Bosh, encore moins son remplaçant (Jones, limité à 6 PTS, imaginez le manque à gagner par rapport à James !) n'avaient la solution. CQFD.
Denver - Miami: 130-102
Bilan: 30 victoires, 11 défaites
C'est une éclatante démonstration par l'absurde qui a illuminé la déroute totale du Heat à Denver, jeudi soir. Et qui a enterré sans doute définitivement les palabres de comptoirs sur les mérites attribuées aux stars de Miami: LeBron James est bien indispensable à son équipe, contrairement à ses deux amis-amis Chris Bosh et Dwayne Wade. Certes, Bosh, le plus mal à l'aise des trois, celui qui a vu le plus ses statistiques décroître depuis son arrivée au sein de l'équipe (de 24 PTS et presque 11 RBD par match la saison dernière à 18 PTS et 8 RBD au Heat), est nécessaire à l'équilibre de l'équipe. Certes, D-Wade est un formidable scoreur, swingman de génie, soliste de l'extrême. Mais Miami a su gagner en leur absence. Pas en celle de Bron-Bron (et une dédicace de plus pour le grand Jacques Monclar!), resté en costume de ville à cause d'une entorse. Tout s'est délité sans lui, comme s'il était l'huile qui permettait aux rouages de l'équipe d'éviter de grincer. Comme s'il était le chef d'orchestre qui permettait l'harmonie.
De par sa polyvalence, James permet chaque soir de match à cette équipe du Heat de compenser ses faiblesses passagères: un peu (beaucoup) de scoring, une pincée de rebonds, une salve de passes décisives et le tour est joué. Sans lui, ces manques ont explosé à la figure des Heat, et ni Wade, ni Bosh, encore moins son remplaçant (Jones, limité à 6 PTS, imaginez le manque à gagner par rapport à James !) n'avaient la solution. CQFD.
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