LA NUIT DES FRENCHIES
Enfin ! Depuis son arrivée à Big Apple, RONNY TURIAF semblait moisi jusqu'au trognon: pas de peps, pas de gnac, pas de rythme, rien de ce qui fait le charme de cet intérieur de devoir si attachant. Et puis dimanche soir, la résurrection. L'explosion. Le massif antillais a rappelé qui il était, et surtout ce qu'il était: un intimidateur, gros cœur et gros biscotos. Envoyé en première ligne grâce à la blessure au tibia de Mozgov, celle beaucoup plus grave d'Eddy Curry (genou) et aux trous d'air pris les matches précédents par Randolph, le "potatipi" a tourmenté les intérieurs d'Indiana, et même les autres (pauvre TJ Ford !!). J'en connais qui dirait "pourvu que ça dure..."
L'ancien Laker n'a pas été le seul à faire reluire le bleu, le blanc et le rouge en cette nuit du premier dimanche de l'année. Le Normand NICOLAS BATUM a été éblouissant face Houston, tant offensivement que défensivement ! Au relais de LaMarcus Aldridge en attaque (25 PTS 11 RBD), le Français a étouffé l'adversité par sa pression, aucun Pacer n'ayant terminé à plus de 15 points ! Et comme une bonne nouvelle ne peut qu'être accompagnée d'une autre (et qu'on est résolument cocardier à B8N), Wesley Matthews, celui qui lui avait pris sa place dans le 5 majeur avant qu'il ne remplace numériquement Brandon Roy (dont on est sans nouvelle, d'ailleurs), s'est méchamment abîmé en pleine mer (OK, on exagère, y'a pas la mer à Portland...), ou au moins dans le fleuve Columbia (14 PTS à 25%... ouuuhhhhh). C'est pas très charitable, c'est vrai, mais il en va de l'avenir du gamin, hein !
Bon, maintenant, passons au sujet qui fâche. MIKE PIETRUS. A peine se réjouissait-on de sa renaissance sous le maillot des Suns, et principalement de son adresse retrouvée (on parle de tirs, pas de son déménagement) qu'il a tout flanqué par terre lors de la 6e défaite en 8 matches de Phoenix, face aux cadors de Sacramento, une belle bande de pompe à vélo, pourtant. Pas la peine de réserver les billets pour le All Star Game, MP12 ne risque pas d'être sélectionné pour le concours de 3 points à ce rythme là: 1/9 dans l'exercice, y compris le air-ball dans le money-time pour rêver d'une prolongation. Comme disait Papin dans les Guignols: affreux, affreux, affreux...
STATS
TURIAF (27'54): 2 PTS (1/3), 10 RBD, 1 AST, 1 STL, 6 BLK, 1 TO
SY: DNP (il vient d'effectuer ses débuts en NBDL, sorte de Championnat réserve de la NBA)
AJINCA: DNP
MAHINMI: DNP
BEAUBOIS: DNP
BATUM (36'06): 21 PTS (8/12), 2 RBD, 1 AST, 1 STL, 1 TO
PIETRUS (35'06): 7 PTS (3/12), 4 RBD, 2 AST, 1 BLK
FRENCHIES DE LA NUIT: Ronny Turiaf et Nicolas Batum
Enfin ! Depuis son arrivée à Big Apple, RONNY TURIAF semblait moisi jusqu'au trognon: pas de peps, pas de gnac, pas de rythme, rien de ce qui fait le charme de cet intérieur de devoir si attachant. Et puis dimanche soir, la résurrection. L'explosion. Le massif antillais a rappelé qui il était, et surtout ce qu'il était: un intimidateur, gros cœur et gros biscotos. Envoyé en première ligne grâce à la blessure au tibia de Mozgov, celle beaucoup plus grave d'Eddy Curry (genou) et aux trous d'air pris les matches précédents par Randolph, le "potatipi" a tourmenté les intérieurs d'Indiana, et même les autres (pauvre TJ Ford !!). J'en connais qui dirait "pourvu que ça dure..."L'ancien Laker n'a pas été le seul à faire reluire le bleu, le blanc et le rouge en cette nuit du premier dimanche de l'année. Le Normand NICOLAS BATUM a été éblouissant face Houston, tant offensivement que défensivement ! Au relais de LaMarcus Aldridge en attaque (25 PTS 11 RBD), le Français a étouffé l'adversité par sa pression, aucun Pacer n'ayant terminé à plus de 15 points ! Et comme une bonne nouvelle ne peut qu'être accompagnée d'une autre (et qu'on est résolument cocardier à B8N), Wesley Matthews, celui qui lui avait pris sa place dans le 5 majeur avant qu'il ne remplace numériquement Brandon Roy (dont on est sans nouvelle, d'ailleurs), s'est méchamment abîmé en pleine mer (OK, on exagère, y'a pas la mer à Portland...), ou au moins dans le fleuve Columbia (14 PTS à 25%... ouuuhhhhh). C'est pas très charitable, c'est vrai, mais il en va de l'avenir du gamin, hein !
Bon, maintenant, passons au sujet qui fâche. MIKE PIETRUS. A peine se réjouissait-on de sa renaissance sous le maillot des Suns, et principalement de son adresse retrouvée (on parle de tirs, pas de son déménagement) qu'il a tout flanqué par terre lors de la 6e défaite en 8 matches de Phoenix, face aux cadors de Sacramento, une belle bande de pompe à vélo, pourtant. Pas la peine de réserver les billets pour le All Star Game, MP12 ne risque pas d'être sélectionné pour le concours de 3 points à ce rythme là: 1/9 dans l'exercice, y compris le air-ball dans le money-time pour rêver d'une prolongation. Comme disait Papin dans les Guignols: affreux, affreux, affreux...
STATS
TURIAF (27'54): 2 PTS (1/3), 10 RBD, 1 AST, 1 STL, 6 BLK, 1 TO
SY: DNP (il vient d'effectuer ses débuts en NBDL, sorte de Championnat réserve de la NBA)
AJINCA: DNP
MAHINMI: DNP
BEAUBOIS: DNP
BATUM (36'06): 21 PTS (8/12), 2 RBD, 1 AST, 1 STL, 1 TO
PIETRUS (35'06): 7 PTS (3/12), 4 RBD, 2 AST, 1 BLK
FRENCHIES DE LA NUIT: Ronny Turiaf et Nicolas Batum
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