LA SAGA HEAT: épisode 28
New York - Miami: 91-113
Cette fois, c'est sérieux. Après avoir croqué les amuse-bouche qui se présentaient en apéro (Golden State, Sacramento, Cleveland...), le Heat est passé à table, et le moins qu'on puisse écrire, ce qu'il avait faim ! James, Bosh et Wade ont mangé tout cru les Knicks, pourtant rayonnants depuis plusieurs semaines (8 victoires en 9 matches avant d'accueillir Miami). C'était l'heure de taper du poing sur la table et c'est ce qu'a réussi notamment LeBron James, déterminé à faire taire les sifflets qui descendaient des gradins du Garden chaque fois qu'il touchait le ballon, désamour d'un public qui espérait tant la venue du King.
Et c'est effectivement ce qui s'est passé: le public new-yorkais a fini par faire silence, peut-être pour admirer l'artiste en pleine création. Le "chosen one" avait décidé que ce match serait son chef d'œuvre, et c'est ainsi qu'il a livré un match d'anthologie, serti d'un clinquant triple double. Il a traîné dans son auguste sillon ses deux acolytes, Wade (26 PTS 8 RBD 5 AST) et Bosh (26 PTS 7 RBD), parfaits lieutenants. Auteurs à eux seuls de 84 points, les amis-amis volaient bien trop haut, et bien trop longtemps, pour des Knicks pas encore tout à fait prêts pour le grand voyage vers le titre. En ce qui concerne le Heat, en revanche, il semble qu'on ait trouvé les bons réglages après les ratés de début de saison. C'est bizarre, plus personne ne ricane, désormais...
New York - Miami: 91-113
Cette fois, c'est sérieux. Après avoir croqué les amuse-bouche qui se présentaient en apéro (Golden State, Sacramento, Cleveland...), le Heat est passé à table, et le moins qu'on puisse écrire, ce qu'il avait faim ! James, Bosh et Wade ont mangé tout cru les Knicks, pourtant rayonnants depuis plusieurs semaines (8 victoires en 9 matches avant d'accueillir Miami). C'était l'heure de taper du poing sur la table et c'est ce qu'a réussi notamment LeBron James, déterminé à faire taire les sifflets qui descendaient des gradins du Garden chaque fois qu'il touchait le ballon, désamour d'un public qui espérait tant la venue du King.
Et c'est effectivement ce qui s'est passé: le public new-yorkais a fini par faire silence, peut-être pour admirer l'artiste en pleine création. Le "chosen one" avait décidé que ce match serait son chef d'œuvre, et c'est ainsi qu'il a livré un match d'anthologie, serti d'un clinquant triple double. Il a traîné dans son auguste sillon ses deux acolytes, Wade (26 PTS 8 RBD 5 AST) et Bosh (26 PTS 7 RBD), parfaits lieutenants. Auteurs à eux seuls de 84 points, les amis-amis volaient bien trop haut, et bien trop longtemps, pour des Knicks pas encore tout à fait prêts pour le grand voyage vers le titre. En ce qui concerne le Heat, en revanche, il semble qu'on ait trouvé les bons réglages après les ratés de début de saison. C'est bizarre, plus personne ne ricane, désormais...
2 commentaires:
A noter en plus de la grosse perf de Lebron, la très belle défense de Miami sur ce match, ils ont vraiment verrouillé leur raquette. Amare ne pouvait rien faire...
C'est très vrai. Ils n'ont pas hésité à faire des prises à deux et des ajustements. Quand ils ont ce dévouement défensif, c'est difficile de marquer face à eux, même si Amar'e ne s'en est pas si mal sorti (24 PTS à 11/28), 14 RBD, 4 AST, 1 STL, 2 BLK et 4 TO)... correct, mais insuffisant (il restait sur 9 ou 10 matches à plus de 30 PTS)
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