LA SAGA HEAT: épisode 14
Et si, finalement, le rouage essentiel du Heat s'appelait Udonis Haslem ? Et si, plutôt que ses superstars endimanchés même la semaine, talents ravissants mais fatigants, la vérité venait de l'ancien Chalonais, mais aussi d'Ilgauskas, House, Arroyo et compagnie, soutiers de luxe, valets de stars ? Finalement, à part une ou deux fulgurance, Wade et LeBron marquent à peu près le même nombre de points à chaque match, chacun prenant le lead à tour de rôle. Chris Bosh, même s'il semble mieux se positionner dans la hiérarchie depuis deux ou trois matches - hiérarchie où il occupe très clairement le troisième plan - ne peut faire la différence à lui seul. D'où tout l'intérêt du "supporting cast", ces obscurs qui permettent de trouver le liant et de transformer les défaites comme celle de la nuit de lundi en victoire...
On dit ça parce que Miami s'est encore ramassé, lundi, chez lui, fac à Indiana, et que, cette fois, il n'y avait pas un absent du côté des stars: LeBron a fait du LeBron (25 PTS), Bosh a prouvé qu'il trouvait son espace vital dans la raquette (21 PTS, 11 RBD) et Wade était remis de ses pépins physiques, même s'il s'est complètement perdu au tir (7% !!!) comme rarement dans sa carrière. Mais Miami avait déjà composé avec sa méforme ou son absence; pas encore avec celle de son homme à tout faire, Udonis Haslem, qui n'a pu apporter comme d'habitude son écot en attaque comme en défense. Mauvais soir pour Wade, peu d'aide venue du banc, une adresse en berne (moins de 40%), un tombereau de ballons perdus (22 !!!), un coaching piteux de Spoelstra (pour combien de temps encore est-il sur le banc, celui-là ?)... cela faisait beaucoup trop, même pour Miami, qui a concédé sa 6e défaite en 14 matches. Pour une équipe qui devait tout gagner, ça fait sacrément désordre...
Et si, finalement, le rouage essentiel du Heat s'appelait Udonis Haslem ? Et si, plutôt que ses superstars endimanchés même la semaine, talents ravissants mais fatigants, la vérité venait de l'ancien Chalonais, mais aussi d'Ilgauskas, House, Arroyo et compagnie, soutiers de luxe, valets de stars ? Finalement, à part une ou deux fulgurance, Wade et LeBron marquent à peu près le même nombre de points à chaque match, chacun prenant le lead à tour de rôle. Chris Bosh, même s'il semble mieux se positionner dans la hiérarchie depuis deux ou trois matches - hiérarchie où il occupe très clairement le troisième plan - ne peut faire la différence à lui seul. D'où tout l'intérêt du "supporting cast", ces obscurs qui permettent de trouver le liant et de transformer les défaites comme celle de la nuit de lundi en victoire...
On dit ça parce que Miami s'est encore ramassé, lundi, chez lui, fac à Indiana, et que, cette fois, il n'y avait pas un absent du côté des stars: LeBron a fait du LeBron (25 PTS), Bosh a prouvé qu'il trouvait son espace vital dans la raquette (21 PTS, 11 RBD) et Wade était remis de ses pépins physiques, même s'il s'est complètement perdu au tir (7% !!!) comme rarement dans sa carrière. Mais Miami avait déjà composé avec sa méforme ou son absence; pas encore avec celle de son homme à tout faire, Udonis Haslem, qui n'a pu apporter comme d'habitude son écot en attaque comme en défense. Mauvais soir pour Wade, peu d'aide venue du banc, une adresse en berne (moins de 40%), un tombereau de ballons perdus (22 !!!), un coaching piteux de Spoelstra (pour combien de temps encore est-il sur le banc, celui-là ?)... cela faisait beaucoup trop, même pour Miami, qui a concédé sa 6e défaite en 14 matches. Pour une équipe qui devait tout gagner, ça fait sacrément désordre...
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