LES FRENCHIES DE LA NUIT
Quelle mouche a donc piqué BORIS DIAW cette nuit ? Face aux Nets d'un JOHAN PETRO sous-utilisé et inutile, "Bobo" s'est acharné à shooter et shooter encore, une rareté chez lui. Dommage car le résultat a été probant, et son influence sur la victoire de son équipe (85-83 pour les Bobcats) irréfutable. Certes, il a peut-être été un poil moins concerné par les autres secteurs du jeu, mais cela n'a pas empêché Charlotte de l'emporter, preuve que les points de Diaw sont indispensables, surtout quand Stephen Jackson abandonne le navire (2/12, 3 TO !). Secondé par Wallace (20 PTS, 11 RBD), "Bobo" s'est alors substitué à son capitaine, prenant le match à son compte comme il devrait le faire bien plus souvent. Malheureusement, avec le temps, on a compris que ce genre de résolution n'était que passager chez le Français. C'est bien dommage...
Pour tout dire, Diaw est bien le seul à s'être montré cette nuit dans la colonie française. Sans couler, TONY PARKER n'a fait que surnager lors de la victoire des Spurs face à Phoenix (112-110), même s'il a inscrit deux lancers importants dans le money-time. En plus d'un Tim Duncan retrouvé (25 PTS, 17 RBD) et d'un Ginobili concentré (18 PTS à 50 %), c'était au tour de Richard Jefferson de sauver la patrie (28 PTS) devant des Suns homogènes (21 PTS pour Richardson, 19 pour Nash et Warrick). Jusque là, les Spurs ne sont pas parvenus à hausser leur niveau tous ensemble. Mais quand ils y parviendront, il faudra sacrément s'en méfier.
PAPE SY absent de la feuille de match côté Atlanta (vainqueur de Detroit 94-85), MIKE PIETRUS était le dernier Français en lice cette nuit. C'est beaucoup dire. Car le cadet des frangins Piétrus n'a fait que passer lors du triomphe floridien face à Minnesota (128-86). C'est d'autant plus ennuyeux que durant cette orgie des Magics, l'ailier antillais n'a pas été convié à la fête, preuve que coach Van Gundy a des doutes sur son adresse. La promenade de ses hommes était justement l'occasion de donner quelques minutes à Piétrus afin qu'il mette quelques paniers et se reconstruise une confiance. Van Gundy n'en a rien fait. Sauf si Mike cache une blessure connue seule du staff et de lui-même, ça n'est pas très bon signe pour la suite.
STATS
SY: DNP
DIAW (39'43): 24 PTS (10/18), 3 RBD, 1 AST, 2 TO
PETRO (6'08): 0 PT (0/0), 1 RBD, 1 STL
PIETRUS (3'25): 0 PT (0/2)
PARKER (33'55): 11 PTS (4/11), 3 RBD, 6 AST, 1 STL, 3 TO
FRENCHY DE LA NUIT: Diaw (Charlotte)
Quelle mouche a donc piqué BORIS DIAW cette nuit ? Face aux Nets d'un JOHAN PETRO sous-utilisé et inutile, "Bobo" s'est acharné à shooter et shooter encore, une rareté chez lui. Dommage car le résultat a été probant, et son influence sur la victoire de son équipe (85-83 pour les Bobcats) irréfutable. Certes, il a peut-être été un poil moins concerné par les autres secteurs du jeu, mais cela n'a pas empêché Charlotte de l'emporter, preuve que les points de Diaw sont indispensables, surtout quand Stephen Jackson abandonne le navire (2/12, 3 TO !). Secondé par Wallace (20 PTS, 11 RBD), "Bobo" s'est alors substitué à son capitaine, prenant le match à son compte comme il devrait le faire bien plus souvent. Malheureusement, avec le temps, on a compris que ce genre de résolution n'était que passager chez le Français. C'est bien dommage...
Pour tout dire, Diaw est bien le seul à s'être montré cette nuit dans la colonie française. Sans couler, TONY PARKER n'a fait que surnager lors de la victoire des Spurs face à Phoenix (112-110), même s'il a inscrit deux lancers importants dans le money-time. En plus d'un Tim Duncan retrouvé (25 PTS, 17 RBD) et d'un Ginobili concentré (18 PTS à 50 %), c'était au tour de Richard Jefferson de sauver la patrie (28 PTS) devant des Suns homogènes (21 PTS pour Richardson, 19 pour Nash et Warrick). Jusque là, les Spurs ne sont pas parvenus à hausser leur niveau tous ensemble. Mais quand ils y parviendront, il faudra sacrément s'en méfier.
PAPE SY absent de la feuille de match côté Atlanta (vainqueur de Detroit 94-85), MIKE PIETRUS était le dernier Français en lice cette nuit. C'est beaucoup dire. Car le cadet des frangins Piétrus n'a fait que passer lors du triomphe floridien face à Minnesota (128-86). C'est d'autant plus ennuyeux que durant cette orgie des Magics, l'ailier antillais n'a pas été convié à la fête, preuve que coach Van Gundy a des doutes sur son adresse. La promenade de ses hommes était justement l'occasion de donner quelques minutes à Piétrus afin qu'il mette quelques paniers et se reconstruise une confiance. Van Gundy n'en a rien fait. Sauf si Mike cache une blessure connue seule du staff et de lui-même, ça n'est pas très bon signe pour la suite.
STATS
SY: DNP
DIAW (39'43): 24 PTS (10/18), 3 RBD, 1 AST, 2 TO
PETRO (6'08): 0 PT (0/0), 1 RBD, 1 STL
PIETRUS (3'25): 0 PT (0/2)
PARKER (33'55): 11 PTS (4/11), 3 RBD, 6 AST, 1 STL, 3 TO
FRENCHY DE LA NUIT: Diaw (Charlotte)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire