C'est un véritable coup de tonnerre qui vient de résonner sur la planète orange ! Ce jeudi soir, en Espagne, la meilleure équipe de basket au monde, les Lakers, a en effet été battue par les Champions d'Europe en titre, Barcelone.
Les esprits étroits diront sans doute qu'il ne s'agissait là que d'un match exhibition, que les Américains étaient en dilettante, que le match comptait pour de la margarine, même pas pour du beurre... bref, que ça ne vaut pas, comme on disait jadis à la récrée.
N'empêche, pour une baffe, c'est une belle baffe. Parce qu'avec le temps, les équipes NBA ont compris qu'elles ne disposaient plus d'aucune marge face à leurs homologues du Vieux Continent finalement pas si branques... Chaque été, dès qu'elles se sentent en danger, les équipes américaines enclenchent le turbo pour ne pas perdre le match... et encore moins la face.
Cela n'a pas suffi, cette fois, et le Champion NBA - pompeusement autoproclamé Champion du monde... sans commentaire - est reparti la tête dans les Converse, battu (88-92). Humilié. Et pas la peine de dire que ce n'était pas la vraie équipe de L.A.
Si Bynum manquait une fois encore à l'appel, tout le monde était là, comme disait l'autre, à commencer par Kobe Bryant et l'enfant du pays, Pau Gasol. L'Espagnol a d'ailleurs bâclé son retour avec certes 25 points mais un piteux 33% de réussite (7/21, le cochon...), tout de même agrémenté de 10 rebonds. Mais que dire du pourcentage cataclysmique de sa majesté Kobe ? Le MVP des MVP a tout raté, ou presque (2/15). Seul Lamar Odom a assuré le minimum, finalement (12 points, 18 rebonds).
Évidemment, le feu est loin de menacer la maison Showtime, mais la déroute fait mauvaise publicité. En revanche, la notoriété de Juan Navarro a été renforcé par cet énième bon match. Souvent brillant face aux ricains, Navarro a été une fois encore décisif (25 points, mais à 33% lui aussi, 6 assists), aidé par son accolyte des lignes arrières Pete Mickeal, vaguement drafté il y a dix ans par New York et jamais apparu autant en pleine lumière (26 points, 13 rebonds, 7 assists... c'est en bas à droite pour signer le contrat ?).
Finalement, le seul bémol de la soirée espagnole est survenu du prodige Ricky Rubio. La merveille s'est encore banané (0 point, 3 passes en 18 minutes !) et commence sérieusement à inquiéter après un Mondial particulièrement raté. Attention au gâchis !
Les esprits étroits diront sans doute qu'il ne s'agissait là que d'un match exhibition, que les Américains étaient en dilettante, que le match comptait pour de la margarine, même pas pour du beurre... bref, que ça ne vaut pas, comme on disait jadis à la récrée.
N'empêche, pour une baffe, c'est une belle baffe. Parce qu'avec le temps, les équipes NBA ont compris qu'elles ne disposaient plus d'aucune marge face à leurs homologues du Vieux Continent finalement pas si branques... Chaque été, dès qu'elles se sentent en danger, les équipes américaines enclenchent le turbo pour ne pas perdre le match... et encore moins la face.
Cela n'a pas suffi, cette fois, et le Champion NBA - pompeusement autoproclamé Champion du monde... sans commentaire - est reparti la tête dans les Converse, battu (88-92). Humilié. Et pas la peine de dire que ce n'était pas la vraie équipe de L.A.
Si Bynum manquait une fois encore à l'appel, tout le monde était là, comme disait l'autre, à commencer par Kobe Bryant et l'enfant du pays, Pau Gasol. L'Espagnol a d'ailleurs bâclé son retour avec certes 25 points mais un piteux 33% de réussite (7/21, le cochon...), tout de même agrémenté de 10 rebonds. Mais que dire du pourcentage cataclysmique de sa majesté Kobe ? Le MVP des MVP a tout raté, ou presque (2/15). Seul Lamar Odom a assuré le minimum, finalement (12 points, 18 rebonds).
Évidemment, le feu est loin de menacer la maison Showtime, mais la déroute fait mauvaise publicité. En revanche, la notoriété de Juan Navarro a été renforcé par cet énième bon match. Souvent brillant face aux ricains, Navarro a été une fois encore décisif (25 points, mais à 33% lui aussi, 6 assists), aidé par son accolyte des lignes arrières Pete Mickeal, vaguement drafté il y a dix ans par New York et jamais apparu autant en pleine lumière (26 points, 13 rebonds, 7 assists... c'est en bas à droite pour signer le contrat ?).
Finalement, le seul bémol de la soirée espagnole est survenu du prodige Ricky Rubio. La merveille s'est encore banané (0 point, 3 passes en 18 minutes !) et commence sérieusement à inquiéter après un Mondial particulièrement raté. Attention au gâchis !
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